Travail pour la guilde...

La journée touche à sa fin. Heruringa marche d'un pas tranquile dans les rues du quartier riche. Mentalement, il liste les bâtisses sensibles de l'interesser pour plus tard, écartant celle qui, à première vue sont gardées dès leur entrée. Car, si les affaires vont bien, ce n'est pas une raison pour rester sans rien faire. La guilde à besoin de fond pour fonctionner. Et puis, une petite escapade nocturne dans l'une de ces maisons, lui fera oublier pour un moment ses soucis à propos du commerce d'esclave qui sévit en ville...

Tu peut voir qu' encore beaucoup de maison sont éclairés. Deux gardes miliciens fond une rondes, mais la rue est grande, il ne devrait pas être trop difficile d'éviter leurs regards.

3 Maisons en particulier attirent ton attention, par leur relative obscurité.

La première, la plus grande (appartenant- sans doute à un homme trés riche), est éclairée au rez-de-chaussée seulement. Par la fenêtre, tu voit qu'une réception y est donnée, mais les 3 étages supérieurs ne sont pas éclairés.

la seconde est plus petite, bien que cosue. Un homme est en train d'en sortir, un carrosse l'attend dans la rue.

Enfin, la dernière, est gardé par deux hommes armés. cependant, il n'ont pas l'air très malin, à en croire leur occupation : se bousculer mutuellement pour voir lequel est le plus fort.

Un travail monotone n'est que peu satisfaisant, le roublard el sais bien. Et puis, les deux imbéciles, bien qu'armés, retiennent son attention... Autant de bêtise de la part de gardes ne peut être que favorable pour lui et puis... qui dit garde, dit quelque chose à voler... ou quelque chose à cacher. Il murmure en elfique pour lui même...

"Pourquoi pas..."

Un sourir se dessine sous la capuche de sa cape. La nuit est enfin tombée, il est dans son élément. En éviter de passer devant les gardes, le voleur contourne la bâtisse, cherchant une quelconque entrée alternative...

Au premier étage, suffisamment sur le coté pour ne pas être vu par les gardes, une fenêtre semble ouverte.

De leur coté, Les gardes continuent leurs idioties : "5 Pa que je peux tenir l'alcool mieux que toi! j'en ai apporté 3 bouteille, et du bon!"

Une fenêtre ouverte : c'est une aubaine pour l'elfe qui cherche du regard un moyen d'atteindre l'ouverture, estimant au passage la hauteur qui la sépare du sol...

La fenêtre semble approximativement entre 5 à 6 mètre de hauteur du sol.
Un grappin permettrait d'y accéder aisément, mais à défaut, les pierres, bien que régulières, apporte de nombreuse prises pour escalader le mur.

La dextérité n'est pas tout est grimper à une telle hauteur peut être risqué... Le roublard hésite, une chute pourrait le blesser et pire encore, avertir les gardes de sa présence... Il réfléchit, pesant le pour et le contre. Réflechissant à un plan de secours en cas de chute... Une idée lui vient. Risquée, très risquée... Mais c'est la seule qu'il ai... En premier lieu, il tend l'oreille et hume l'air pour détecter les présences alentour...

Les gardes fond désormais beaucoup de bruits, cependant, la pièce ouverte semble silencieuse.
De plus, les fenêtre du rez de chaussé (à1 m 50) semble facile à crocheter, bien qu'un crochetage, même facile, n'en est pas forcement silencieux.

Les gardes, alors souls, parle de leur employeur. "Ouai... il à dit qu'il rentrerai tard... mais t'sais, ces riches, avec eux on sait jammais! De quoi il à l'air? Chais pas, je le vois toujours de dos, c'est bien un mégalo de noble, comte de je-sais-plus-quoi, de toute façon il à plus de terre, mais il à de l'or, c'est sur."

Il semblerais donc que la vitesse sois de mise ce soir... Pourquoi pas... Il observe les fenêtre pour voir s'il peut les crocheter avec un semblant de discrétion avec son matériel...

Heruringa crochète la fenêtre impeccablement, mais il entend tout à coup les gardes se tairent....

puis l'un d'eux s'écrit : "hé!! ta fini la bouteille! t'aurais pu m'en laisser !!"

on entend un fracas de verre, puis les gardes se dispute bruyamment.

La fenêtre est donc ouverte, on peut voir qu'il s'agit de la cuisine, comprenant un garde-manger, une table en bois servant sans doute aussi de pan de travail, et une cheminée (pour faire cuir les plats).
Une porte permet de rejoindre une autre pièce.

Le roublard était pret à dégainer ses armes pour se défendre mais il se détend, pestant intérieurement contre la bêtise des gardes. Puis il se faufile dans la cuisine, les odeurs de nourriture lui assaillant les narines. Puis il referme en silence la fenêtre. Il fouille rapidement la cuisine avant se concentrer sur la porte, écoutant à l'huis clos pour vérifier que personne ne se trouve derrière...

L'Elfe trouve essentiellement du pain,et de la viande froide, conservé dans du sel.
De plus un carafe d'eau est encore sur la table.

Derrière la porte, aucun bruit ne se fait entendre.

Il vérifie qu'elle n'est pas vérouillée et l'ouvre en silence...

La porte donne sur la pièce d'entrée. Une porte ouverte donne sur le salon, non éclairé. Un escalier monte à l'étage. les autres portes (l'une à coté de la cuisine, l'autre en face) sont fermés, mais elles donnent sans doute sur sur de pièce tel que le bureau ou la bibliothèque.

Délaissant d'étage pour le moment, le voleur va s'occuper des portes close. Il commence par celle d'en face. Procédant aux vérifications d'usage avant d'essayer de l'ouvir...

l'autre coté semble silencieux, le roublard constate également que la porte n'est pas verrouillée.

Par réflèxe, il fait une détection des pièges et entre...

pas de piège. la pièce est le bureau. lorsqu'il entre, Heruringa ne peut manquer de voir un homme occupé à manipuler le coffre. L'homme , plutôt costaud, se retourne et demande : "t'est qui toi? tu veux quoi?"

"Moi ? Personne... Et puis, je pourrais vous retourner la question."

Il n'est pas agressif envers l'inconnu. Pour le moment, il préfère ne pas montrer de signe d'agressivité en se préparant à dégainer...

"mmm...Vous ne seriez pas un voleur par hasard?"

L'homme dit ceci sans aucune animosité, semble-t-il, mais il porte la main sur son arme, sans pour autant la dégainer.

"Et vous ?"

Il sourit dans l'ombre de sa capuche. Sachant que même en cas d'attaque, il peut le cas échéant, se passer de ses armes... mais cela à aussi ses inconvénient...

"moi? je ne suis pas plus voleur que vous... pas plus
On fait comment? On va éviter de se battre... 75%pour cent pour moi, 25 pour vous?"

"Allons bon... vous voulez rire... Je préfèrerai tout avoir qu'accepter ce marché de dupe... S'il doit y avoir partage, je veux la moitié du butin, pas moins..."

"la moitié? ok, on fait 50/50, mais je vous laisse crocheter le coffre, je m'esquinte les doigts dessus depuis un bon quart d'heure... Je monte la garde pendant que vous l'ouvrer, ça vous va?"

"Ca me va..."

Restant sur ces garde, il viens étudier de près ce coffre. Partager le butin ne lui plait guère. Mais provoquer un combat maintenant ne serait pas judicieux. Il réfléchirait plus tard à ce problème...